Renforcement de la gouvernance minière : Le Burkina Faso valide sa stratégie de transparence 2025-2029

Renforcement de la gouvernance minière : Le Burkina Faso valide sa stratégie de transparence 2025-2029

Dans un contexte où la transparence et la bonne gouvernance sont essentielles pour le développement durable du secteur minier au Burkina Faso, un atelier crucial s’est tenu le mercredi 28 août 2024. Cet atelier national de validation de la stratégie nationale de promotion de la transparence et de la bonne gouvernance dans le secteur extractif 2025-2029 s’est déroulé dans la salle de conférence de la DGCOOP, organisé par ITIE BF et présidé par le Secrétaire Général du Ministère en charge des mines, Monsieur SANOU Doulaye, également Vice-Président du Comité de pilotage de ITIE BF.

La soixantaine de participants issus des acteurs œuvrant dans le secteur minier (ministères, CMB, OSC, PTF) a analysé et amélioré les documents qui ont été présentés. L’AFEMIB a été représentée par Mme KABRE.

Lors de son discours d’ouverture, le Secrétaire Général a souligné l’intérêt que le gouvernement accorde à la gouvernance du secteur de l’industrie minière au Burkina Faso. Cette priorité est marquée par son adhésion à la norme ITIE depuis 2008 et renforcée par les évaluations effectuées au cours des 15 dernières années. Des progrès ont été constatés, mais des défis demeurent, notamment en ce qui concerne la transition énergétique et d’autres aspects de gouvernance du secteur. Le Secrétaire Général a exprimé sa confiance dans le fait que les observations des participants amélioreront la qualité des documents, qui seront soumis à la Commission nationale de Planification et de Développement.

Après cette introduction, la présentation de la stratégie a été l’un des moments forts de la journée. Monsieur NIKIEMA Aristide, chargé de suivi-évaluation à l’ITIE-BF, a présenté la stratégie et le cadre de programmation des activités. Il a souligné que la stratégie a été élaborée de manière participative et inclusive avec tous les acteurs du secteur extractif. Son appropriation et sa mise en œuvre nécessitent également la participation de tous. Le montant global à mobiliser auprès de toutes les parties prenantes du secteur minier (État, OSC, compagnies minières, PTF) pour la mise en œuvre de la stratégie est de 14 274 583 000 FCFA. Des PTBA (triennaux et annuels) seront élaborés pour faciliter l’exécution de la stratégie.

Synthèse de la présentation

Résultats du diagnostic.

  • Forces : La présence d’institutions étatiques solides, d’un cadre juridique structuré, et d’une société civile dynamique, soutenue par une volonté politique pour la transparence.
  • Faiblesses : La méconnaissance de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) par certains acteurs, la divergence des données, et un faible ancrage médiatique de l’ITIE.
  • Opportunités : La disponibilité d’instruments internationaux et régionaux pour la bonne gouvernance, un potentiel minier diversifié, et l’existence de politiques intégrant des actions de transparence.
  • Menaces : L’instabilité institutionnelle, les conflits communautaires, l’insécurité croissante, et la crise humanitaire qui peuvent entraver la mise en œuvre des initiatives de transparence et de bonne gouvernance dans le secteur extractif.

Orientations stratégiques pour les cinq prochaines années.

Objectif global : Promouvoir la transparence et la bonne gouvernance dans le secteur extractif pour un développement durable du Burkina Faso.

Axes stratégiques :

  1. Accessibilité du public aux informations sur le secteur extractif.
  2. Gouvernance de la transparence dans le secteur extractif.

Vision : À l’horizon 2029, le Burkina Faso, en s’appuyant sur la norme ITIE, disposera d’un secteur extractif transparent qui contribuera efficacement au développement durable.

Principes directeurs :

  1. Bonne gouvernance
  2. Leadership
  3. Responsabilisation
  4. Redevabilité
  5. Communication
  6. Partenariat
  7. Équité et genre

Le dispositif de mise en œuvre et de suivi-évaluation comprend plusieurs éléments essentiels :

  1. Instruments de mise en œuvre :
    • Plan d’Actions Triennal glissant
    • Plan de Travail Annuel
  2. Acteurs de mise en œuvre :
    • Acteurs ministériels
    • Collectivités territoriales
    • Acteurs non étatiques
  3. Mécanisme de suivi-évaluation :
    • Organes de suivi-évaluation
      • Comité de pilotage
      • Secrétariat technique
  4. Instances de suivi-évaluation
  5. Outils de suivi-évaluation
  6. Mécanisme de financement

En conclusion, cet atelier marque une étape importante pour assurer une mise en œuvre efficace et un suivi rigoureux des actions développées dans le cadre de cette stratégie. Les participants ont validé les documents sous réserve de la prise en compte des observations de fond et de forme, soulignant ainsi leur engagement à faire avancer la transparence et la bonne gouvernance dans le secteur extractif au Burkina Faso.

✍Mme KABRE

Renforcement des capacités de 500 femmes et jeunes sur les activités génératrices de revenus : Lancement de la troisième phase du projet dans 10 communes du Burkina Faso

Renforcement des capacités de 500 femmes et jeunes sur les activités génératrices de revenus : Lancement de la troisième phase du projet dans 10 communes du Burkina Faso

Dans le cadre de l’exécution de son projet intitulé « Renforcement des capacités de 500 femmes et jeunes des sites miniers sur les activités génératrices de revenus », l’Association des Femmes du Secteur Minier du Burkina a entamé la troisième phase de mise en œuvre depuis le 13 août 2024 et qui prendra fin le 25 août 2024 dans les localités concernées.

 Objectif et déroulement : Cette phase est dédiée à la formation des bénéficiaires sur la théorie et la pratique des activités génératrices de revenus (AGR) qu’ils ont choisies. Pour chaque localité concernée, 50 femmes et jeunes, répartis en deux groupes, seront formés sur l’une des 7 types d’AGR retenues.

 Extraction minière

  • Bagassi : Association Sanousa
  • Korsimoro : Groupe Lagmtaaba
  • Sabcé : Groupe Relwendé Zandkoom
  • Boudry : Groupement Wendsongyan Tisongdo
  • Mogtédo : Groupement Wendpanga

Maraîchage

  • Poura : Groupement Yisangnou
  • Boussé : Groupe Andi
  • Zabré : Association Tikouma des Jeunes et Femmes pour le Développement de Zabré
  • Boudry : AFEMI Boudry
  • Mogtédo : Association Sougrnooma

 Élevage de petits ruminants

  • Poura : Association Beogneere
  • Réo : Association des Filles Mères et Veuves
  • Bouda : Groupe Renaissance
  • Boussé : Groupe Nooma

 Élevage de volaille

  • Réo : Association des Jeunes de Zoula
  • Sabcé : Groupe Les Leaders

 Beurre de karité

  • Bagassi : Association Yibansan

 Production pluviale

  • Korsimoro : Groupe Konwoumlougou

 Warrantage

  • Bouda : Groupe Relwende

 

Accompagnement et encadrementLe cabinet What You Need, en charge des formations, a déployé des techniciens spécialisés pour conduire les sessions dans chaque localité.

Pour garantir la qualité et la pertinence des formations dispensées, l’AFEMIB a mobilisé des équipes pour superviser les travaux dans certaines zones.

 Prochaine phase : Formalisation des groupements en coopérativesLes différents groupements seront formalisés en coopératives et dotés en équipements et kits d’installation pour l’atteinte des objectifs de l’AFEMIB et ses partenaires, matérialisés par la maximisation de profits générés par leurs AGR.

 Perspectives et suivi : Ces formations visent à autonomiser les femmes et les jeunes en renforçant leurs capacités à générer des revenus de manière durable. L’acquisition de compétences techniques et pratiques dans des domaines variés, ainsi que la dotation en équipements adéquats, leur permettront d’améliorer leurs conditions de vie et de contribuer au développement local et partant au bonheur de leurs familles respectives.

L’AFEMIB renouvellement ses remerciements au PARGFM pour la confiance renouvelée.  Elle remercie toutes les associations qui ont accepté faire partie de cette aventure.

Ensemble pour le développement de nos communes par des stratégies endogènes.

L’AFEMIB RECUE EN AUDIENCE PAR LE MINISTRE DE L’ENERGIE, DES MINIES ET DES CARRIERES

L’AFEMIB RECUE EN AUDIENCE PAR LE MINISTRE DE L’ENERGIE, DES MINIES ET DES CARRIERES

A sa demande, une délégation de l’AFEMIB, composée de six membres, a été reçue en audience le vendredi 26 juillet 2024 par le Ministre de l’Energie des Mines et des Carrières, Monsieur Yacouba Zabré GOUBA.  Cette audience fait suite à la série d’activités mises en œuvre par l’AFEMIB dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la femme dans le secteur minier, dont Monsieur le Ministre était le patron.

Elle a produit un rapport moral desdites activités et a donc jugé utile d’en remettre une copie, à main propre, à monsieur le ministre et profiter de l’occasion pour :

  • renouveler la gratitude de l’AFEMIB pour la proximité et l’engagement de Monsieur le Ministère à ses côtés ;
  • informer le ministre sur les résultats et les recommandations du rapport qui pourraient encourager la prise de mesures visant à améliorer les conditions de travail et à soutenir la carrière des femmes dans les mines.
  • saisir une nouvelle opportunité d’échanger avec Monsieur le Ministre sur quelques préoccupations en lien avec l’intégration effective des femmes dans la gouvernance du secteur artisanal : l’implication de l’AFEMIB dans les nouvelles orientations et réforme du secteur, le besoin de soutien aux coopératives de femmes dans l’exploitation semi mécanisée, la prise en compte des observations faites par l’AFEMIB sur le nouveau code minier, le développement communautaire par la mise en place de mécanismes endogènes par le biais du FMDL, etc.

 

Profitant de l’occasion, une des membres de la délégation, Mme YADA Eve, lauréate du prix AWIMA LEADERSHIP AWARDS category ASM (categorie mine artisanale et à petite échelle) 2024, a présenté son trophée reçu le 11 juin 2024 à Accra. Elle a reçu les félicitations de Monsieur le Ministre.

Avec la permission de Monsieur le Ministre, la délégation a exprimé sa gratitude a son protocole, Monsieur OUOBA pour la bonne collaboration.

C’est dans une ambiance de bonnes promesses et de nouveaux engagements que la délégation a pris congé de l’autorité.

L’AFEMIB FAIT SES ADIEUX A SON EXCELLENCE MADAME L’AMBASSADEUR DU CANADA AU BURKINA

L’AFEMIB FAIT SES ADIEUX A SON EXCELLENCE MADAME L’AMBASSADEUR DU CANADA AU BURKINA

Ce mardi 23 juillet 2024, Son Excellence, Mme l’Ambassadeur du Canada, Lee-Anne Hermann, a accordé une audience à l’Association des Femmes du Secteur Minier du Burkina (AFEMIB).

La délégation de l’AFEMIB composée de quatre (4) membres a exprimé sa gratitude à son Excellence pour son soutien aux activités de promotion du genre dans le secteur minier.A l’occasion, une copie du rapport des activités organisées autour de la journée internationale de la femme dans le secteur minier a été transmis à son Excellence.

Par la même occasion, la délégation a fait ses adieux à son excellence qui est en fin de mission, après trois ans passés dans le pays des Hommes intègres.

C’est dans une bonne ambiance que la délégation a pris congé.

ATELIER DE VULGARISATION DU GUIDE D’UTILISATION DU FONDS MINIER DE DEVELOPPEMENT LOCAL (FMDL) dans la Région du Centre Sud

ATELIER DE VULGARISATION DU GUIDE D’UTILISATION DU FONDS MINIER DE DEVELOPPEMENT LOCAL (FMDL) dans la Région du Centre Sud

L’une des innovations du code minier de 2015 est l’institution du Fonds Minier de Développement Local (FMDL), destiné aux financements des projets structurants et innovants inscrits dans les plans communaux et régionaux de développement. Il est alimenté par les compagnies minières à hauteur de 1% de leurs chiffres d’affaires mensuels hors taxes ou de la valeur des produits extraits au cours du mois d’une part, et de 20% des redevances proportionnelles collectées par l’Etat burkinabé d’autre part.

Pour faciliter le suivi de la collecte, répartition et attribution dudit fonds, le gouvernement a mis en place le  Secrétariat Permanent de la Commission Nationale Des Mines et du Fonds Minier de Développement (SP CNM FMDL).

Cependant, l’on constate sur le terrain une mauvaise interprétation sur les projets éligibles, structurants ; le faible taux d’absorption des ressources transférées et la faible production des rapports.  Toutes ces insuffisances ont conduit le ministère et ses collaborateurs à prendre des initiatives en vue de les pallier.

C’est donc dans un souci d’avoir un référent commun sur l’usage des ressources, que le ministère en charge des mines, soutenu par ses partenaires du secteur, a élaboré et adopté un guide d’utilisation du FMDL.

Pour permettre l’appropriation du guide par les usagers du FMDL, le ministère a entrepris de le vulgariser dans toutes les régions et communes du Burkina. Pour ce faire, des ateliers sont organisés dans ces localités pour présenter le guide et le mettre à la disposition des acteurs (régionales, provinciales et communales).  L’AFEMIB prend part aux ateliers dans les régions du Centre Sud, Centre Est et à l’Est, animé par trois cadres du SP FMDL.

Ce lundi 8 juillet 2024, la salle de réunion du conseil régionale a abrité ledit atelier sous la présidence de Mme le Gouverneur de la Région du Centre Sud, Manga, Massadalo Yvette Nacoulma / Sanou. Une cinquantaine de participants composés des autorités administratives régionales, provinciales et communales ont été informés sur le contenu du guide.

Dans son discours d’ouverture de lancement des travaux, elle a rappelé que le secteur minier constitue un important pilier de l’économie burkinabé et pourvoyeur d’emplois aussi. Tout en situant les cadres de l’institution du FMDL et de l’élaboration du guide, elle s’est réjouie de l’initiative qui vient combler un besoin d’orientation des acteurs, sur l’utilisation des ressources du FMDL. Elle a salué les efforts et souhaité plein succès aux travaux. Après vérification du quorum, elle a exhorté les acteurs à une participation effective en vue de maitriser le contenu du guide pour une utilisation efficiente des ressources pour le développement économique de leurs localités. Elle terminé ses propos par des paroles de bénédictions pour notre cher Faso et ouvert les travaux. Une copie du guide lui a été remis par le Directeur Régional chargés des mines du centre Sud, Monsieur KALMOGO Hervé.

Les travaux de la journée ont été conduites par Madame Ouo Abibata BAMOUNI/TRAORE, Secrétaire Générale de la Région du Centre-Sud, secondé par le Directeur Régional du Ministère en charge des Mines.

 Les participants ont eu droit à deux présentations, l’une portant sur le FMDL et l’autre sur le Guide d’utilisation du FMDL.

Synthèses des discussions après les présentations

La patente et FMDL ; non prise en compte du volet humanitaire par le FMDL, l’opérationnalisation des comités locaux de suivi, leur fonctionnement, le financement des journées de redevabilité par le biais du FMDL, les retards de transfert du FMDL, l’utilisation du FMDL pour soutenir un projet en cours de réalisation, la clé de répartition du FMDL. Certaines communes sont milliardaires et ont même des difficultés pour absorber leurs milliards. Pourquoi ne pas revenir sur la clé pour équilibrer afin de donner la chance aux autres communes, projets structurants, production des rapports, le canevas, la possibilité d’aller au-delà des secteurs définis dans les parenthèses, envisager de donner une grande part aux communes chefs-lieux de régions ou de provinces abritant la mine. L’exemple a été pris sur Falangoutou qui abrite la mine d’Essakane qui a tout mais ne peut consommer ses revenus à cause du terrorisme. Pendant ce temps, tout le monde se sert de la ville de Dori mais Dori n’a rien. Est-ce qu’il n’y a pas lieu de faire une révision. La validation des projets suivant la réglementation en vigueur, la non limitation des années de l’affectation d’une partie du FMDL au fonds patriotique, etc.

Quelques recommandations :. 

  • affecter plus de ressources aux communes non minières mais qui abritent le matériel des miniers Dori et Falangoutou
  • Sensibiliser davantage les communautés sur les textes régissant le secteur minier
  • Aller au-delà des formations en métiers pour donner des kits d’installation aux structures formées

Madame la Secrétaire Générale a mis fin aux travaux par une note d’interpellation : La pérennité du FMDL repose sur notre responsabilité à tous. Si c’est bien géré, le fonds sera pérenne, autrement, le gouvernement peut sa gestion à l’exemple des cantines scolaires. Les acteurs ont donc été exhortés à prendre les dispositions utiles pour une gestion efficace et efficientes du FMDL afin de contribuer à rendre visible, l’impact des mines sur nos communes.

Pour toutes fins utiles, la région du Centre Sud est composée des provinces :

  • Bazèga (Doulougou, Gaongo, Ipelcé, Kayao, Kombissiri, Saponé, Toécé),
  • Nahouri ( Guiaro, Pô, Tiébélé, Zecco, Ziou
  • Zoundweogo (Béré, Bindé Gogo, Gomboussougou, Guiba, Manga, Nobéré)
Formation en entrepreneuriat et en éducation financière au profit de 500 femmes et jeunes des sites miniers artisanaux

Formation en entrepreneuriat et en éducation financière au profit de 500 femmes et jeunes des sites miniers artisanaux

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement de 500 femmes et jeunes des sites miniers sur les activités génératrices de revenus (AGR) », exécuté à Bagassi, Bouda, Boudry, Boussé, Mogtédo, Zabré, Korsimoro, Réo et Poura et Sabcé, l’AFEMIB a entamé la deuxième étape du projet qui est la formation des bénéficiaires en entrepreneuriat et éducation financière.
Des équipes ont été déployées sur lesdites localités pour assurer la formation du 3 au 5 juillet 2024.

L’objectif principal de ces sessions de formation est d’outiller les bénéficiaires en concepts clés de l’entrepreneuriat et de l’éducation financière.
De façon spécifique, il s’agira de :
– former les bénéficiaires sur l’esprit d’entreprise et l’entrepreneuriat ;
– former les bénéficiaires sur la gestion simplifié de leurs entreprises ;
– renforcer les capacités en éducation financière pour une meilleure gestion des ressources personnelles et de leur famille ;
– informer et sensibiliser sur le bien-fondé de leur mise en coopérative et les étapes de formalisation.

A la suite de cette activité, il est prévu la formation sur les métiers choisis par les groupes des bénéficiaires (deux groupes par localités) qui sont entre autres : Maraichage, extraction minière, production pluviale, élevage de volaille et de petits ruminants, warrantage et production de beurre de karité.

Pour rappel et pour toutes fins utiles, le projet est financé entièrement par le Projet d’Appui au Renforcement de la Gestion du Foncier et des Mines (PARGFM), dans son volet « Développement communautaire de la sous composante 3.2: Contenu local, intégration économique et développement communautaire » dont l’AFEMIB est actrice de mise en œuvre.

L’AFEMIB entend renforcer la résilience économique des femmes et jeunes des zones minières à travers des initiatives endogènes. Cette approche favorise l’autonomisation des communautés et leur permet de prendre en charge leur propre développement de manière plus efficace et durable. Améliorons juste la manière de faire par le biais des nouvelles technologies !

L’AFEMIB réitère ses remerciements au PARGFM pour la confiance renouvelée.

C’est le cabinet What You Need qui assure l’appui technique à l’AFEMIB.

AFEMIB, pour que l’or brille sur toutes les femmes burkinabè.